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Un signal urgent, marqué d’un ample prénom : Nadine. « Phil, j’ai besoin de vous détacher. Ma sœur et être sommes en apathique depuis des générations, et elle provient de m’annoncer qu’elle est gravement malade. Je culpabilise de ne pas encore avoir acte le natif pas plus tôt. Est-il incomparablement tard pour renouer ? » Phil s’abrita en arrière un rocher dans le but les rafales de vent. Il tira son rugby de cartes bleus portatif. La Force, encore elle, se montra, accompagnée de la carte du Pendu. Il sentit un mélange d’espoir et de lamentation. Il répondit : « Nadine, il n’est jamais trop tard pour tester de rétablir une passerelle, même endommagé. Le Pendu indique qu’il on a la possibilité de supporter de placer son ego à part et de vivre un tragédie intérieur. Soyez honnête avec votre sœur, dites-lui ce que vous avez sur le cœur et, particulièrement, écoutez ce qu’elle a qui est à vous présenter. La maladie pourrait de années à autre ouvrir un chemin de réconciliation. » À expérience avait-il envoyé son envoi de signal que d’autres notifications surgirent. La voyance sans cb qu’il proposait n’avait pas de frontières : on le contactait depuis différents endroits du royaume, ou alors d’autres régions francophones. Il y avait ce jeune père inquiet pour l’avenir social de sa domicile, cette romancière en herbe doutant de son genie, et même un pêcheur craignant que la raréfaction des poissons ne l’oblige à évoluer de travail. Phil répondait à chacun avec la même abstraction, puisant dans les cartes bleu, et aussi dans ses perception, pour prodiguer instructions et éclairages. Les heures passèrent. La marée montante léchait dès maintenant le peu élevé de ses chaussures, l’obligeant à bien reculer sur un bain de soleil. 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